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ET
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Notice
Identification et lieu de conservation
IDC2432
TitreVOLTAIRE à CONDORCET - 28 septembre 1774 (Paris, Bibliothèque nationale de France, site Richelieu-Louvois, NAF 24330, f. 179-180)
Document de référenceOui
Statut éditorialLettre retenue
Nature du documentOriginal
Lieu de conservationParis, Bibliothèque nationale de France, site Richelieu-Louvois
CoteNAF 24330, f. 179-180
Intervention(s)
Expéditeur(s) et destinataire(s)
Instrument d’écriturePlume trempée dans l’encre noire
Dates
Datation28 septembre 1774
Marque(s) postale(s)
Marque(s) postale(s)Non
Pliage d’expéditionPli non cacheté
Référence(s)
Edition(s)

Besterman D 19130

Vente(s)

Sold by Heck, September 1934.

Textes
Contenu

Duplicata. Secret. Nouvelles lamentations sur l’imputation calomnieuse de la Lettre d’un théologien. Heureusement le Chancelier [Maupeou] n’a pas voulu croire l’abbé de Voisenon, en partie responsable des accusations qui pesaient sur lui et avec qui il a dû s’expliquer. « L’auteur du dictionnaire des trois siècles », le personnage visé par ce pamphlet, c’est-à-dire Sabotier de Castres, est une canaille qui ne mérite pas qu’on lui fasse tant de publicité. Des témoignages de ses malhonnêtetés circulent. Met sous la protection de ses correspondants une affaire autrement importante, la grâce de d’Etallonde qu’il a demandée en vain à Louis XV, à Mme du Barry, à Maupeou. Le nouveau parlement ne vaut pas mieux que l’ancien, sentiment dont il devine que ses correspondants le partagent, mais ses neveux [Alexandre Jean Mignot, dit l’abbé Mignot et Alexandre-Marie-François de Paule de Dompierre d'Hornoy] en font partie. Ils sont révoltés comme lui par l’affaire du chevalier de La Barre. D’Etallonde, qui avait réussi à s’enfuir à temps, a été spolié au passage par son père. Il s’est réfugié en Prusse, alors que ses comparses ont été victimes d’horribles châtiments. A séjourné à Ferney, et Voltaire a pu constater la douceur de ses mœurs. Il cherche maintenant les moyens d’obtenir sa grâce, après une série de démarches qui ont échoué. Se propose d’écrire à Frédéric II, qui a donné une sous-lieutenance à d’Etallonde pour lui demander de fournir à C. et D’Alembert un certificat signé et scellé de la bonne conduite de d’Etallonde. Il leur lègue l’affaire, puisqu’il pense mourir bientôt. C’est une grande cause philosophique. Vient de lire l’arrêt de Turgot du 13 septembre [sur le commerce des grains] et se réjouit des progrès annoncés par cette mesure.

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