Maret était bel et bien membre du Moniteur universel comme l’indique Condorcet (même si sa participation à ce journal s’interrompit « à la fin de la Constituante » d’après le Dictionnaire des journalistes, donc avant le 1er octobre 1791 alors que la lettre de Condorcet date du 26 octobre 1791).  
Lettre dont le destinataire avait été désigné à tort comme Marat et non Maret (cette erreur de transcription a été corrigée ci-dessous) alors que Marat était lui-même du journal nommé Le Moniteur patriote (un seul n°, en 1789).