Madame de JUNET à CONDORCET - [1787 ?] (Paris, Bibliothèque de l’Institut de France, Ms 856, f. 771-772)

Transcription

[771 r] [Inscriptions allographes]

[771 v] Monsieur

Vous avéz bien voulû massurer que vous Continueriez toujours de vous fournir chéz moi, jalouse de Conserver votre pratique, malgré que jaye quitté le Commerce il me reste encore de trés belles marchandises dont je pourez vous accommoder, rien ne me flattera davantage que de vous revoir. Jespere avoir cet honneur le plutôt possible.

Je suis avec la plus haute consideration Monsieur Votre trés humble servante

dejunet [?]

Mon adresse est cý jointe

[772 r] [772 v] [Inscriptions allographes]

Identification et lieu de conservation
IDC	1803
Titre	Madame de JUNET à CONDORCET - [1787 ?] (Paris, Bibliothèque de l’Institut de France, Ms 856, f. 771-772)
Document de référence	Oui
Statut éditorial	Lettre retenue
Nature du document	Original
Lieu de conservation	Paris, Bibliothèque de l’Institut de France
Cote	Ms 856, f. 771-772
Intervention(s)
Expéditeur(s) et destinataire(s)	Madame de JUNET [Expéditeur] CONDORCET [Destinataire]
Instrument d’écriture	Plume trempée dans l’encre noire
Dates
Date indiquée par le scripteur	[non]
Datation	[1787 ?]
Date de tri	Monday 31 December 1787
Papier et cachet
Description sommaire du papier	Bifeuillet in-4°, vergé azuré foncé, filigrané. Quelques déchirures restaurés par du papier Japon.
Textes
Transcripteur(s)	JH revu NR.
Transcription [771 r] [Inscriptions allographes] [771 v] Monsieur Vous avéz bien voulû massurer que vous Continueriez toujours de vous fournir chéz moi, jalouse de Conserver votre pratique, malgré que jaye quitté le Commerce il me reste encore de trés belles marchandises dont je pourez vous accommoder, rien ne me flattera davantage que de vous revoir. Jespere avoir cet honneur le plutôt possible. Je suis avec la plus haute consideration Monsieur Votre trés humble servante dejunet [?] Mon adresse est cý jointe [772 r] [772 v] [Inscriptions allographes]
Contenu	C. s’étant engagé à « continue[r] de [se] fournir chéz elle », M^me de Junet l’informe que, bien qu’elle ait « quitté le commerce », elle dispose « encore de trés belles marchandises ».