Transcription
[405 r] [Fin de la lettre IDC 1466]
[405 v]
<Les loix que votre altesse a faites pour le bien de ses>
Le bien que votre altesse royale à fait à ses peuples, et les exemples qu’elle a donnés aux souverains lui ont donne des droits sur la reconnaissance de <tout> tous ceux qui s’interessent au bonheur general de l’humanité. Je la supplie de pardonner à ce <motif> sentiment si juste <le [?]> la liberté que je prends de lui presenter un ouvrage d’arithmétique politique <. Si quelques uns des objets qui y sont> |mais dont les principes et les <conclusions> resultats sont exposés separement du calcul dans un discours preliminaire.|
L’objet en est important, et je dois en craindre davantage d’être resté trop au dessous de mon sujet : mais je sais avec |quelle| indulgence votre altesse royale daigne accueillir les ouvrages les plus faibles quand <ils sont inspirés par ce [?] s> l’utilité publique en est le motif. <Depuis qu’elle regne en T> Si j’avais voulu prouver par des faits |cette verité ou le calcul m’a conduit| que le bonheur <des nations> d’un peuple, depend bien plus des lumieres de ceux qui gouvernent que de la forme des constitutions politiques, la Toscane <m’eut [?]> m’en eut <donne> offert un grand exemple <, et le calcul>.