Crédit photographique : Bibliothèque de l’Institut de France 

ET
3758 réponses

Sélectionner par

• Année
Sans date
1760
1770
1780
1790
→ Aucune sélection

• Marques postales
Non
Oui
→ Aucune sélection

• Type de contenu
Description du papier
Image du filigrane
Transcription
Transcription & papier
→ Aucune sélection

3240/3758 results        
Notice
Identification et lieu de conservation
IDC3282
TitreCONDORCET à Jean François JOLY DE FLEURY - [1er mars 1783] (Paris, Archives de l’Académie des sciences, Pochette de la séance du 1er mars 1783)
Statut éditorialLettre retenue
Nature du documentBrouillon
Lieu de conservationParis, Archives de l’Académie des sciences
CotePochette de la séance du 1er mars 1783
Intervention(s)
Expéditeur(s) et destinataire(s)
Instrument d’écriturePlume trempée dans l’encre noire
Dates
Datation[1er mars 1783]
Papier et cachet
Description du papier issue de Muse

Description occurrence :
Ff. début/fin : [001]-[001]. Type de papier : BIF060-0 . Feuillet in-2°. Dimensions feuillet : 324 x 215

Description référence :
Type de papier : BIF060-0. Vergé écru, assez lisse. Épaisseur : 0,118 mm. Dimensions feuille entière :320 x 420 (ron rogné). Filigrane : Marque : Bâton royal. Contremarque  : initiale “L”. Ecart lignes de chaînettes : 25-27mm. Tranchefile marque : 14 mm. Tranchefile contremarque : 13-14 mm.

Image(s) de référence du filigrane
Textes

Ouvrir dans une nouvelle page

Transcription

[1 r] L’academie des sciences á la quelle j’ai rendu compte du1Lire : de. la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire, m’a chargé d’avoir celui de vous exposer qu’elle n’a point nommé de commissaires pour visiter le pont de Neuilli, mais seulement pour éxaminer le mémoire de M. De Fer.

|D’ailleurs| par un usage suivi constament et dont les raisons sont faciles à sentir, l’academie ne se permet point même de prononcer qu’un mémoire qui lui est présenté <est etranger à ses occupations> <ne doit point> <n’est pas d> ne renferme que des objets etrangers à ses occupations, sans l’avis de commissaires qui aient fait une lecture <de ce> rèfléchie du mémoire. Ainsi la nomination de commissaires pour examiner un <memoire> ouvrage ne <signifie pas> prouve pas même que l’academie ait |eu| l’intention de prononcer sur ce qu’il contient.

|<Un> La |plus| grande partie du Memoire de M. De Fer <regardent> regarde directement les sciences dont l’academie s’occupe, et les commissaires auraient distingué dans ce mémoire les objets qu’ils devaient examiner et ceux sur lesquels ils devaient attendre les ordres du gouvernement.|

L’opinion que <le public [... ?]> quelques persones ont pu prendre n’a |donc| été fondée que sur le peu de connaissance qu’elles ont des usages de l’académie, mais <elle> l’académie n’a pas à se reprocher d’avoir contribué en rien à accrediter <leurs erreurs> leur erreur ; puisqu’elle n’a fait que suivre des regles dont l’expérience lui à prouvé l’utilité et la sagesse.

[1 v vierge]
1
2
Contenu

En réponse à sa lettre [du 21 février 1783, IDC 1624], précise que l’Ads « n’a point nommé de commissaires pour visiter le pont de Neuilli, mais seulement pour éxaminer le mémoire de M. De Fer » (f. 1 r) sur celui-ci. Lui rappelle qu’avant de décider éventuellement de juger un mémoire, il est d’usage que l’Ads nomme des commissaires pour déterminer si le mémoire en question s’accorde avec ses centres d’intérêt. C’est précisément le cas du mémoire de Defer. 

3240/3758 results        

                                       

               

Responsable du projet : Nicolas Rieucau, Laboratoire d'économie dionysien (EA 3391) / Université Paris VIII.
Projet financé par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR)
Hébergement du site : TGIR Huma-Num

© 2016 - 2021 Laboratoire d’économie dionysien

Dernière mise à jour: lundi 15 avril 2024 (20:31) +
Rendu de la page en 0.032s