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Notice
Identification et lieu de conservation
IDC683
TitrePierre François Maxime CHEDEVILLE à CONDORCET - 30 janvier 1784 (Paris, Archives de l’Académie des sciences, pochette de la séance du 4 février 1784)
Nature du documentOriginal
Lieu de conservationParis, Archives de l’Académie des sciences
Cotepochette de la séance du 4 février 1784
Intervention(s)
Expéditeur(s) et destinataire(s)
Instrument d’écriturePlume trempée dans l’encre noire
Dates
Date indiquée par le scripteurle 30 jer 1784
Datation30 janvier 1784
Lieux
Lieu d'écriture indiqué par le scripteurParis
Lieu d'écriture rétabli ou normaliséParis
Lieu d'écriture indexé
Lieu de destination rétabli ou normaliséParis
Lieu de destination indexé
Papier et cachet
Description sommaire du papier

Cahier de 3 bifeuillets + 1 bifeuillet in-4° cousus, vergé écru, filigrané

Textes

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Transcription

[1 r] Monsieur

Je ne suis ni sçavant ni artiste dans aucun genre ; et j’en suis bien fâché. Mais je sçais que l’idée d’un ignorant peut devenir utile, étant développée et appliquée par un homme habile : je m’adresse donc à vous, à cet effet, avec d’autant-plus de confiance, relative à vous, Monsieur, qu’il est dans le caractère du vrai sçavant d’estre indulgent et d’excuser l’ignorance bien intentionée : voiçi mon idée.

Faire un cercle léger en fer-blanc ou autre matière, perçé dans la division des quatre vents prinçipaux, subdivisés par huit, par 16, et même par 32 vents, si on veut.

En dehors de ce cercle ou cadran, adapter un Entonnoir ou <orifice> Réçipient ayant son orifice d’un diamètre à calculer et à enfoncer suivant le besoin et la grosseur du Globe à la direction duquel il serviroit.

En dedans de ce cercle adapter à chaque trou un tuyau calculé en longueur <et> en dimension et en diamètre d’embouchure.

Mon idée est que ce cercle soit soutenu, ou ait pour point d’appuy le sommet du Globe, ou qu’il soit soutenu par trois ou quatre branches de fer viscées, attachées au bois du vaisseau, et calculées, dimensées de sorte que par ces deux moyens, ou par [1 v] tout autre, ce cercle se trouve fixé à la hauteur du ventre du Globe.

Le tout marchant ensemble et, porté dans l’air, le vent soufle, et par exemple, va du Midy au Nord directement ; il est alors tout naturel que le vent atmosphérique porte ce Globe sur le Nord.

Mais en cet état, et suivant mon idée, ce vent partant du Midy, entre, dans une quantité quelconque, par l’orifice du dit Entonnoir ou Réçipient, dans ce cercle, et sort avec plus ou moins de force par chacun des trous <ouverts> intérieurs, ou plutôt ouverts à l’aspect du contour de ce Globe, si on a laissé tous ces 32 trous ouverts.

Mais [si] on les a fermés par un moyen quelconque, à l’exçeption, par exemple, du trou à droitte qui se trouve au bout de la ligne diamétralle du Levant au couchant.

Alors le vent sortant par le trou du Levant pousse le Globe sur le couchant.

Est à scavoir <quelle force atmosphérique> dans quelle force le vent atmosphérique pousse ce Globe dans sa direction naturelle, à tel moment ;

quelle prise, quelle impulsion, quelle force il a sur lui à raison de son diamètre et de sa courbe, puisqu’une surface courbe de trois pieds de diamètre et présentant sa convéxité [2 r] au souffle du vent, n’oppose pas autant de résistance au vent, qu’une surface platte ou horizontalle du même diamètre de trois pieds : est à calculer par les sçavans, si mon idée vaut la peine ;

quelle force ce vent acquiert dans l’espace rétréçi et çirculaire de ce cercle qu’il parcourt pour <en sortir> ne sortir que par le trou du Levant, selon mon exemple çité ;

à sçavoir si le vent entrant, par le dit Entonnoir extérieur, dans ce cercle, et le parcourant à droitte et à <Gauh [?]> Gauche pour ne sortir que par le trou du Levant, si, dis-je, cette rencontre, ce choc du vent ne seroit point au desavantage du but qu’on se proposeroit, ou si, au contraire, ce choc seroit avantageux ;

Est à sçavoir si ce vent ne parcouroit que par la droitte ou par la Gauche, que par l’une seulement, cela seroit plus avantageux en force de vent ;

Dans l’exemple donné, le vent souffle du Midy et entre par le Reçipient extérieur ; qui à chaque variation [2 v] de vent, présente naturellement son orifice au vent qui souffle alors ; le trou du Levant seul est ouvert ; le vent se partage à droitte et à gauche ; la portion de vent qui va à droitte, vers le trou du levant ne parcourt qu’un quart de ce cercle ;

la portion qui va à gauche pour se rendre aussi au trou du Levant parcourt les trois autres quarts de cercle ;

Est à sçavoir si le vent n’acquerreroit pas plus de force dans ce cercle en en parcourant les trois quarts, qu’en n’en parcourant qu’un quart ;

Si on vouloit, si on jugeoit plus utile que le vent, dans cet exemple çité, parcourût les trois quarts du cercle à gauche, et point le quart à droitte, il faudroit fermer ce cercle à droitte en dedans <à> près l’embouchure de l’entonnoir par une soupape ou autre moyen à volonté et façile ;

tous les trous intérieurs de ce cercle pouroient estre fermés par une coulisse de fer-blanc dans une <Renure> rainure ou feuillure soudée sur l’intérieur de ce cercle ;

il faudroit que ce moyen de fermeture de chaque trou fût façile, ou imaginer un autre moyen suffisant.

Mes soupapes à chaque trou seroient-elles convenables et appliquables soit en dedans, soit en dehors de ce [3 r] cercle ?

Si on faisoit l’orifice de cet entonnoir extérieur avec un rebord un peu recourbé en dedans, à peu près comme l’espèce d’entonnoir ou orifice de l’instrument à vent nommé serpent, cette forme d’entonnoir qui recevroit le vent atmosphérique n’en retiendroit-elle pas plus, et ne le repousseroit-elle pas avec plus de force dans ce cercle ? quelle forme donner à chaque tuyau adapté à chaque trou intérieur du cercle ?

Seroient-ils plus larges à leur orifice tenant, soudé sur le cercle, et plus étroits à leur embouchure c’est à-dire à leur extremité dirigée sur et vers la surface du Globe ?

Cette extremité que je nomme embouchure, étant plus étroitte que l’orifice, le vent en sortiroit avec plus de force et pousseroit plus fort le Globe.

Mais aussi cette embouchure étant plus étroitte que l’orifice, le vent ne souffleroit sur le ventre du Globe que sur une petite surface, et cette petite étendue d’impulsion du vent ne seroit peut-être pas suffisante.

Au reste est à calculer le diamètre convenable à cet [3 v] orifice et à cette embouchure, et le combiner avec la force dont on auroit besoin pour agir sur le ventre du Globe et le diriger à volonté.

Si l’embouchure de chaque tuyau étoit plus large que son orifice, le vent sortiroit avec moins de force par cette embouchure, mais alors le vent porteroit et pousseroit sur une plus grande surface du Globe.

Est à sçavoir si cette force de vent seroit suffisante, si le developpement, et pour ainsi-dire l’empattement de ses rayons de vent seroient plus utiles, que la force du vent sorti par une embouchure plus étroitte est à calculer et à combiner.

Est à sçavoir si l’embouchure de chaque tuyau des 32 vents, ou seulement des seize doit toucher, plus ou moins près, le Globe ; dans telle dimension que ce soit de l’ensemble, l’embouchure de ces tuyaux ne peut pas estre beaucoup écartée de la surface circulaire du ventre de ce Globe, soit que ce cercle soit soutenu par et sur le sommet du Globe, comme Mr Charles a soutenu son filet, soit que ce cercle soit porté par des branches de fer dont le bas seroit cloué ou vissé sur le bois du char ou vaisseau.

Seroit-il possible, ainsi que je le pense, d’établir, au milieu du vaisseau, un Pivot de fer creu ou une espèce [4 r] de cri qui ayant trois ou quatre branches subdivisées en haut à une hauteur convenablement dimensée, supporteroit ce cercle solidement à la hauteur du ventre du Globe ?

Si ce dernier moyen de support de ce cercle étoit pratiquable, il auroit l’avantage sur les deux autres, qu’on pouroit monter et descendre ce cercle à volonté comme par le moyen d’un cri, ce qui donneroit la façilité et mettroit à portée de fermer et d’ouvrir les coulisses ou soupapes de chaque trou des vents à volonté, suivant le changement du vent, et de n’ouvrir selon ce changement que le trou convenable pour diriger le Globe du côté où l’on voudroit aller, à telle division de route qu’on voulût <aller> tenir.

Quant à l’entonnoir extérieur ou Réçipient du vent atmosphérique, il seroit toûjours dans une position fixe sur le cercle ; la position et l’aspect de l’orifice de cet Entonnoir seroit toûjours au vent regnant, et n’en changeroit qu’avec l’ensemble du Globe et du vaisseau, le quel vaisseau ne tourneroit, comme toutte Giroüette, que dans la direction du vent regnant de Poupe en Proüe, en flancs <formant>faisant la forme d’une Girouette qui reçoit telle ou telle action, telle ou telle déviation selon les variations du vent.

Et je ne pense pas qu’il faille au dessus de ce vaisseau d’autre moyen de prise au vent pour le maintenir dans une direction parallèle au vent.

[4 v] Est à sçavoir si la force du vent sortant par le trou du Levant dans l’exemple çité, suffiroit pour pousser le Globe et le vaisseau sur le couchant vers lequel on veut aller directement ; c’est la direction qui opposeroit le plus de résistance à l’air en lui même, parce que dans cette direction, la surfaçe entiere du flanc gauche du vaisseau presseroit en totalité sur l’air atmosphérique.

Si on veut aller juste entre le couchant et le Nord, il faut ouvrir alors, et seulement, le trou correspondant en opposition dans la ligne diamétralle entre le Midy et le Levant.

Je suppose que le Globe est en l’air, il n’y a point ou il y a peu de vent qui chasse ce Globe sensiblement dans aucun sens ; il est en Panne comme un vaisseau retenu par le calme ; mais ce peu de vent entre par l’entonnoir dans le cercle, ce vent ainsi reserré dans le cercle y acquiert de la force comme dans une sarbacane, il sort avec plus de violence par le trou du vent du levant, dans l’exemple çite, cette force ainsi reserrée, multipliée ne poussera t’elle pas le Globe vers le couchant lors que <ce même>le vent atmosphérique, par lui-même, n’aura pas eû asses de force et d’impulsion sur la surface entiere du Globe pour le pousser d’aucun côté ?

Si on veut diriger le Globe dans le sens, dans la ligne diamétralement opposée au cours du vent atmosphérique alors soufflant, il faut ouvrir seulement le trou du Nord, [5 r] puisqu’on veut aller, juste, du Nord au Midy, quoique le vent souffle du Midy au Nord.

Je pense qu’on le peut, si on admet que le vent qui souffle, juste, du Midy au Nord, n’a que trois degrés de force sur la portion de la surface du Globe qui est opposée et [?] qui est en aspect à ce vent du Midy, et que le vent reserré dans le cercle et qui sort par le trou du Nord a quatre dégrés de force sur la portion de la surface du Globe qui est opposée, qui est à l’aspect de l’embouchure du trou du Nord, et ainsi des autres supputations et proportions de force de vent extérieur atmosphérique, et des forces du vent reserré dans le cercle.

Seroit-il utile de laisser trois trous ouverts, sçavoir, dans l’exemple çité le trou du levant, le trou à la droitte de ce trou et le trou à sa gauche ?

Les trois forces du vent pousseroient-elles plus le Globe que la force seulle du trou du levant ? Ou ces trois vents soufflants ensemble sur le même point du Globe, ne se choqueroient-ils pas au desavantage du but qu’on se proposeroit ?

On pouroit courber un peu l’embouchure de chacun des tuyaux à droitte et à Gauche du trou du Levant ; de cette sorte, ces deux forces de vent sortantes par ces deux tuyaux un peu courbés, l’un <vers la droitte> déclinant la droitte l’autre <vers la gauche> déclinant la Gauche [5 v] du trou du levant ne porteroient pas directement sur le point du Globe, où porteroit directement le vent du trou du Levant mais ces deux vents à droitte et à gauche du trou du Levant donneroient leur impulsion sur plus de surface de ce Globe, et ces trois forces de vent, agissantes ainsi, pouroient estre utilles.

Mais si ce moyen de trois forces de vent étoit jugé utile, il faudroit que la maniere d’adapter chaque tuyau de vent au cercle, pût se changer aisément et à volonté, pour pouvoir déplaçer et plaçer à volonté les deux tuyaux courbes dont on voudroit faire usage et <placer> qu’on voudroit plaçer à côté du trou soit Nord, soit couchant, ou autres trous de subdivisions de vent qu’on voudroit ouvrir suivant la route qu’on voudroit tenir.

Le vent, comme dans l’exemple çité souffle, pousse du Midy au Nord directement et le trou du levant pousse le Globe sur le couchant.

Le vaisseau qui est long et suspendu au Globe a sa direction naturelle dans sa longueur comme le vent ; sa Poupe regarde le vent du Midy qui souffle, et sa Proüe regarde le vent du Nord vers lequel ce vaisseau va directement avec le vent.

Ce vaisseau présente son flanc gauche au couchant vers le quel le |le1Chedeville a oublié de barrer ce mot. vent du| trou du levant le pousse, selon l’exemple çité.

[6 r] Est à sçavoir si la pression de l’étendüe de ce flanc sur la surface, sur la Masse horisontale de l’air du côté du couchant n’est pas trop forte, si cette masse d’air fait une résistance plus forte que la poussée, que l’impulsion du vent du trou du levant.

Et en outre si cette force du vent du trou du levant a asses de force pour dominer, et cette résistance de la masse horisontalle de l’air du côté du couchant et domine en même tems la force du vent regnant et poussant alors du Midy au Nord.

Est à sçavoir si aulieu d’un vaisseau long dont les flancs trop longs comprimeroient trop de Masse d’air horisontalle, il ne seroit pas plus utile, pour la direction à volonté de ce Globe, de faire un vaisseau plus oval que long. Je ne pense pas qu’un vaisseau tout rond pût estre bien dirigé, car alors le Globe et le vaisseau étant ronds le vent les feroit trop tourner ensemble, et l’orifice de l’entonnoir récipient de l’air atmosphérique ne pouroit se maintenir en face, au regard du vent soufflant alors, au vent du Midy, comme dans l’exemple çité.

Si les tuyaux de chaque trou de subdivisions de vent n’étoient pas asses longs, dans mon idée çitée içi, on pouroit dimenser le cercle autrement, comme ceçi.

Aulieu de monter et fixer ce cercle troué, au niveau du ventre du Globe, |il faut| le monter, le fixer au dessus du Globe [6 v] et les tuyaux de vent adaptés a chaque trou se remonteroient, <un peu en courbe,> se prolongeroient un peu en courbe, jusqu’au niveau du ventre du Globe, en faisant aussi recourber un peu l’embouchure de chaque tuyau vers le ventre de ce Globe.

De cette sorte ces tuyaux de vent ayant plus de longueur, le vent qui les parcoureroit auroit peut-estre plus de force.

Et le cercle portant tous ces tuyaux étant ainsi fixé plus bas, il seroit plus à la portée de la main des Nautoniers aériens qui pouroient plus façilement faire leur manœuvre, refermer et r’ouvrir les trous et tuyaux à volonté, et faire le rechange et déplacement de ces tuyaux, si ce cercle et moyen de direction devient admissible, sauf toute autre manière d’employer ce cercle réçipient de vent.

Est à scavoir enfin si l’embouchure de chaque tuyau, étant plus large que son orifice, ne présenteroit pas trop de surface au vent soufflant alors, comme celui du Midy au Nord ; si ce vent frappant sur les embouchures de ces tuyaux, particulierement en droiture sur les embouchures à l’aspect, à l’opposé du vent du Midy, elles ne recevroient pas trop de l’impulsion du vent du Midy, qui jointe à l’impulsion de ce vent du Midy sur la portion de surface du Globe du côté du Midy, feroient une force directe trop supérieure à la force du vent du trou du levant dans mon exemple çité.

Cette idée m’est venüe, à la fin de déçembre dernier, je l’ai [7 r] rédigée depuis, j’en ai causé un peu avec un abbé qui m’a conseillé d’avoir recours à quelque sçavant, pour le développement je viens donc de la mettre au Net pour vous l’envoyer, en vous faisant bien des excuses.

J’ai l’honneur d’être avec respect Monsieur Votre très-humble et très-obéissant serviteur

Chedeville2Paraphe bouclé.

rüe du Cherche Midy,
au bâtiment neuf des Prémontrés.

Parisle 30 jer 1784

[7 v vierge]

[8 r] N.ta

Vous jugeres, sans doute, Messieurs, que j’ai entendu que l’embouchure des tuyaux de subdivisions des vents seroit formée comme un entonnoir ou comme celle d’un cor de chasse, quoique je ne l’aye pas ainsi traçée, s’il étoit plus utile que ces embouchures fussent plus larges que les orifices.

Je transcris içi mot pour mot, l’idée qu’un abbé vient de me remettre par écrit, la voiçi :

Le sommet du Globepouroit estre terminé pour une petite verge de Métal ou de bois dur, qui serviroit de Pivot et qui entreroit dans un anneau ou Etuy, lequel tourneroit à volonté. À cet anneau viendroient aboutir et s’attacher les branches courbes qui tiendroient le cercle suspendu tout autour du milieu du Globe. L’anneau seroit surmonté d’une Giroüette qui feroit tourner le cercle de manière à presenter toûjours au vent regnant l’embouchure de l’entonnoir.

Je ne crois pas ce Pivot appliquable sur le sommet du Globe.

Et je n’ose pas me flatter du sucçès de ma propre idée : Mais Labor onmia vincit ; et l’univers travaille sur cet objet.

Nta Je n’ai pu tracer, içi derriere, l’orifice de l’Entonnoir dont le diamètre est à calculer selon le volume du Globe.

[8 v] [Figure]

[En haut : ]Nord.

[En bas : ]Gouleau de l’entonnoir

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Contenu

Lui fait part d’un projet relatif à la direction d’un ballon. A conçu ce projet au mois de décembre 1783 et c’est sur le conseil d’« un abbé » qu’il lui expose. Cite les travaux de [Jacques] Charles en la matière. Dans une note ajoutée à sa lettre, évoque aussi, sur le même sujet, « l’idée qu’un abbé[1] vient de [lui] remettre par écrit ».

 

 

[1] Il s’agit fort vraisemblablement du même abbé que celui qu’il vient de citer.

 

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