Transcription
[555] Dites, je vous prie, Monsieur, au proprietaire du mandement qu’il en aura une belle edition avec une reponse suivie du mandement de l’eveque d’Amiens et aussi de la réponse. on dit que tout cela paraitra ces jours ci.1Ici appel de note de la main de Ruault : +
.
Quant a la lettre de M. Vagniere, il ne me paraitrait pas infiniment juste que Me Denys ayant cede les manuscrits de son oncle, son secretaire2Jean-Louis Wagnière. les cédât une seconde fois.
La partie du tome 17. dont il parle n’est pas entre mes mains elle doit être chez vous. Mais l’exemplaire que vous en avez est celui que Me Denys a remis come corrigés.
Les autres volumes sont aussi dans vos mains, je ne me souviens pas d’y avoir vu de corrections et je ne suis pas même sûr qu’ils aient [été] remis par Me Denis. M. de Voltaire n’avait pas assez avancé la correction de ses ouvrages pour en être a ces volumes.
Mais M. Vagniere doit savoir comment il a eu ces [556] corrections, si elles ont été prises par lui sur l’exemplaire que M. de Voltaire corrigeait vous les avez sinon vous ne les avez pas.
M. Ruault qui a l’edition 4°. encadrée peut verifier pour les volumes qui n’ont pas ete dépecés par M. de Croix. Quand3Lire : Quant
. a ceux qu’il a dépecés pour le Dictionnaire philosophique, si M. Ruault veut passer chez moi un matin nous les examinerons ensemble.