Crédit photographique : Bibliothèque de l’Institut de France 

ET
3796 réponses

Sélectionner par

• Année
Sans date
1760
1770
1780
1790
→ Aucune sélection

• Marques postales
Non
Oui
→ Aucune sélection

• Type de contenu
Description du papier
Image du filigrane
Transcription
Transcription & papier
→ Aucune sélection

2389/3796 results        
Notice
Identification et lieu de conservation
IDC2432
TitreVOLTAIRE à CONDORCET - 28 septembre 1774 (Paris, Bibliothèque nationale de France, site Richelieu, NAF 24330, f. 179-180)
Pour citer ce document

Voltaire, François Marie Arouet dit de à Condorcet - 28 septembre 1774 (Paris, Bibliothèque nationale de France, site Richelieu-Louvois / NAF 24330, f. 179-180)

Document de référenceOui
Statut éditorialLettre retenue
Nature du documentOriginal
Lieu de conservationParis, Bibliothèque nationale de France, site Richelieu
CoteNAF 24330, f. 179-180
Note(s) interne(s) identification
et lieu de conservation

Désignée par Bersterman comme : "Copy of original document: transcription, with a few autograph additions — the last three paragraphs, except the date, being holograph."

Nous avons repris ici la désignation figurant dans l'Inventaire D'Alembert, soit original, avec notes autographes

Intervention(s)
Expéditeur(s) et destinataire(s)
Instrument d’écriturePlume trempée dans l’encre noire
Dates
Datation28 septembre 1774
Date de trimercredi 28 septembre 1774
Travail de datation achevéNon
Marque(s) postale(s)
Marque(s) postale(s)Non
Papier et cachet
Pliage d’expéditionPli non cacheté
Référence(s)
Edition(s)

Besterman D 19130

Vente(s)

Sold by Heck, September 1934.

Textes
Contenu

Duplicata. Secret. Nouvelles lamentations sur l’imputation calomnieuse de la Lettre d’un théologien. Heureusement le Chancelier [Maupeou] n’a pas voulu croire l’abbé de Voisenon, en partie responsable des accusations qui pesaient sur lui et avec qui il a dû s’expliquer. « L’auteur du dictionnaire des trois siècles », le personnage visé par ce pamphlet, c’est-à-dire Sabotier de Castres, est une canaille qui ne mérite pas qu’on lui fasse tant de publicité. Des témoignages de ses malhonnêtetés circulent. Met sous la protection de ses correspondants une affaire autrement importante, la grâce de d’Etallonde qu’il a demandée en vain à Louis XV, à Mme du Barry, à Maupeou. Le nouveau parlement ne vaut pas mieux que l’ancien, sentiment dont il devine que ses correspondants le partagent, mais ses neveux [Alexandre Jean Mignot, dit l’abbé Mignot et Alexandre-Marie-François de Paule de Dompierre d'Hornoy] en font partie. Ils sont révoltés comme lui par l’affaire du chevalier de La Barre. D’Etallonde, qui avait réussi à s’enfuir à temps, a été spolié au passage par son père. Il s’est réfugié en Prusse, alors que ses comparses ont été victimes d’horribles châtiments. A séjourné à Ferney, et Voltaire a pu constater la douceur de ses mœurs. Il cherche maintenant les moyens d’obtenir sa grâce, après une série de démarches qui ont échoué. Se propose d’écrire à Frédéric II, qui a donné une sous-lieutenance à d’Etallonde pour lui demander de fournir à C. et D’Alembert un certificat signé et scellé de la bonne conduite de d’Etallonde. Il leur lègue l’affaire, puisqu’il pense mourir bientôt. C’est une grande cause philosophique. Vient de lire l’arrêt de Turgot du 13 septembre [sur le commerce des grains] et se réjouit des progrès annoncés par cette mesure.

2389/3796 results        

                                       

               

Responsable du projet : Nicolas Rieucau, Laboratoire d'économie dionysien (EA 3391) / Université Paris VIII.
Projet financé par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR)
Hébergement du site : TGIR Huma-Num

© 2016 - 2021 Laboratoire d’économie dionysien

Dernière mise à jour: vendredi 6 décembre 2024 (10:05) +
Rendu de la page en 0.025s