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Notice
Identification et lieu de conservation
IDC2433
TitreVOLTAIRE à CONDORCET - 21 novembre 1774 (Paris, Bibliothèque nationale de France, site Richelieu, NAF 24330, f. 182-183)
Pour citer ce document

Voltaire, François Marie Arouet dit de à Condorcet - 21 novembre 1774 (Paris, Bibliothèque nationale de France, site Richelieu-Louvois / NAF 24330, f. 182-183)

Document de référenceOui
Statut éditorialLettre retenue
Nature du documentOriginal
Lieu de conservationParis, Bibliothèque nationale de France, site Richelieu
CoteNAF 24330, f. 182-183
Intervention(s)
Expéditeur(s) et destinataire(s)
Instrument d’écriturePlume trempée dans l’encre noire
Dates
Datation21 novembre 1774
Date de trilundi 21 novembre 1774
Travail de datation achevéNon
Marque(s) postale(s)
Marque(s) postale(s)Non
Papier et cachet
Pliage d’expéditionPli non cacheté
Référence(s)
Edition(s)

Besterman D 19194

Vente(s)

Sold by Heck, September 1934.

Textes
Contenu

Résume le contenu d’une précédente lettre relative à d’Etallonde, établi à Ferney durant le congé qu’il a obtenu du roi de Prusse, lettre malencontreusement saisie et mise sous scellé suite à la disgrâce de Guillaume-François-Louis Joly de Fleury, exilé à Maubeuge suite à la réforme parlementaire. Encourage Condorcet et D’Alembert, qu’il compare à de valeureux guerriers, à collaborer avec Turgot. Le jeune d’Etallonde est sous sa protection à Ferney, et fait de brillantes études de mathématiques. Il a obtenu un congé du roi de Prusse afin de tenter de rentrer en possession de son héritage, dont son père a profité pour s’emparer. Voltaire vise plus haut, il veut obtenir sa réhabilitation. Il a déjà réuni un dossier juridique qui éclaire les origines de cette sombre histoire, une histoire de harcèlement sexuel et de vengeance à l’encontre de la tante du jeune homme. L’innocence de D’Etallonde lui semble aisée à démontrer. Son idée est d’obtenir des lettres d’attribution au Parlement de Paris pour juger en premier et dernier ressort de cette affaire. Cela vaudrait mieux que des lettres de grâce, « parce que grâce suppose crime ». Supplie D’Alembert de réfléchir à la meilleure stratégie pour s’assurer des appuis, notamment auprès du roi de Prusse.

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